Notre artiste :
En effet, fort de ses origines et de sa culture belges, Benoît trouve l’espace nécessaire à l’épanouissement de Gustave dans le surréalisme, l’autodérision et un romantisme passionné.
La rue est le premier terrain de jeu de ce clown échappé du cirque. Gustave fréquente les fêtes foraines et les festivals de rue, la meilleure des écoles.
C’est aussi dans la rue que se fera la mise en scène du spectacle. «C’est le public qui me l’a soufflé…», confie Benoît, «… en m’indiquant ce qui lui plaisait ou pas ».
Gustave grandit sans complexe. Il séduit par sa simplicité et sa sincérité. Il s’affirme sur la scène et lâche ses prouesses à bout portant.
L’art de prendre la balle au bond, c’est aussi la « tchatche » et Gustave n’en manque pas : «Trois balles pour seulement deux mains, ça c’est de la jonglerie ! ». Suivez le guide, Gustave vous emmène dans son univers burlesque.